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« Je ne peux que remercier le club… » – UNE DÉCLARATION CHOC après la débâcle du Real au Bernabéu qui déclenche la colère de Florentino Pérez : le sort d’Ancelotti est-il déjà scellé ?

« Je ne peux que remercier le club… » – UNE DÉCLARATION CHOC après la débâcle du Real au Bernabéu qui déclenche la colère de Florentino Pérez : le sort d’Ancelotti est-il déjà scellé ?

admin
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Avant le match revanche contre Arsenal au Bernabéu, le Real Madrid savait ce qu’il devait faire pour renverser la situation. C’est pourquoi l’entraîneur Ancelotti a sorti les meilleures cartes qu’il a actuellement en main. Rodrygo, Vinicius, Mbappé, Bellingham, Valverde et Bellingham ont tous été titulaires.

Pendant ce temps, de l’autre côté de la ligne de front, l’entraîneur Arteta a fait en sorte que Merino joue comme avant-centre, soutenu par Saka et Martinelli. Le trio de milieu de terrain des Gunners est composé d’Odegaard, Partey et Rice. En défense, Kiwior continue de faire équipe avec Saliba en tant que défenseur central, tandis que les ailes appartiennent respectivement à Lewis-Skelly et Timber.

Après le coup de sifflet d’ouverture, le Real Madrid s’est immédiatement précipité sur le terrain d’Arsenal pour attaquer avec force. À la 2e minute, Mbappé a frappé le ballon près du but après une passe de Vinicius, mais l’arbitre a levé le drapeau pour hors-jeu.

Saka a envoyé le ballon devant Courtois pour marquer

Saka a envoyé le ballon devant Courtois pour marquer

À la 11e minute, Arsenal a obtenu un penalty de manière inattendue de la part de l’arbitre après que l’équipe VAR a déterminé que Merino avait été tiré au sol sur un corner sur l’aile droite. Cependant, à 11 mètres, Saka n’a pas pu battre le gardien Courtois avec un coup de pied très faible.

Cet arrêt sûr de Courtois a donné un énorme coup de pouce au Real Madrid. L’équipe locale a presque entièrement contrôlé le jeu, mais en réalité, les situations dangereuses ne se sont pas produites car Arsenal a défendu très serré.

En deuxième mi-temps, le même scénario que la première s’est répété, lorsque le Real Madrid contrôlait le ballon pour attaquer tandis qu’Arsenal défendait activement, attendant des opportunités de contre-attaque. À la 65e minute, les Gunners ont réduit le Bernabéu au silence avec un but qui a brisé l’égalité.

Le moment où Vinicius a volé le ballon à Saliba et a marqué

Le moment où Vinicius a volé le ballon à Saliba et a marqué

Depuis l’aile droite, Arsenal a amené le ballon au milieu. Odegaard a combiné avec Rice, avant que Merino ne reçoive le ballon et fasse une passe intelligente à Saka pour qu’il coure et passe délicatement le ballon devant Courtois. Quelle belle mise en place de la part d’Arsenal.

Cependant, la joie d’Arsenal n’a duré qu’une minute exactement, car le Real Madrid a égalisé. Le gardien Raya a passé le ballon à Saliba dans sa moitié de terrain, mais le visage tourné vers le but, le défenseur central français n’a pas pu voir Vinicius arriver par derrière. Vinicius a volé le ballon et a terminé facilement dans un but presque vide, donnant de l’espoir aux Blancos.

Dans le temps restant, l’entraîneur Ancelotti a envoyé des stars offensives comme Endrick et Brahim Diaz sur le terrain, mais tous étaient encore assez ternes. Trop absorbé par l’attaque, le Real Madrid a dû subir un coup de grâce douloureux de la part d’Arsenal. 

Martinelli achève le Real Madrid

Martinelli achève le Real Madrid

Minute 90+3, récupérant le ballon depuis son terrain, Arsenal organise une contre-attaque éclair. Merino a une fois de plus joué le rôle de passeur pour Martinelli pour accélérer, dépasser Garcia et battre facilement le gardien Courtois dans une situation de un contre un. 

Au final, Arsenal a battu le Real Madrid 2-1 au Bernabeu et le score cumulé après deux matchs était de 5-1, entrant ainsi en toute confiance dans les demi-finales de la Ligue des champions pour la première fois depuis 2009. L’adversaire de l’équipe d’Arteta sera le PSG – l’équipe qui a battu Aston Villa en quarts de finale.

Dans un moment d’une sincérité désarmante, Carlo Ancelotti a semé le doute sur son avenir au Real Madrid : « Est-ce que c’était mon dernier match de Ligue des Champions ? Peut-être, si le club décide de changer. » Une phrase lourde de sens, prononcée avec calme, mais qui résonne comme un tremblement de terre au sein du vestiaire madrilène. Le technicien italien, habituellement mesuré, semble avoir accepté la possibilité d’un départ. Derrière cette déclaration, on perçoit une lassitude profonde, peut-être même une fracture irréversible avec la direction. Ancelotti ne parle plus de contrat, de projet, mais d’un simple « merci » à dire, au moment venu. Ce détachement apparent pourrait-il cacher une tension interne avec Florentino Pérez ? Ou s’agit-il d’un adieu déguisé ? Une chose est sûre : ce message, aussi sobre soit-il, marque peut-être la fin d’une ère.